La Fille d’avant, J.P. DELANEY

Jane vient de vivre une douloureuse épreuve et a besoin de prendre du recul. L’opportunité semble toute trouvée lorsque le propriétaire d’une maison incroyable – un architecte énigmatique – lui accorde le droit de s’y installer. Malgré les nombreuses contraintes imposées pour jouir des lieux, la jeune femme se sent prête à tourner la page.

Mais poussée par une certaine curiosité, Jane découvre d’étranges informations concernant la précédente locataire, Emma. Décidée à en savoir plus, elle se lance alors dans des investigations plus dangereuses qu’elle ne l’imaginait.

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Petite parenthèse pour me la péter quelques secondes. Cette lecture m’a été rendue possible grâce à Mademoiselle lit et à son concours Instagram. J’ai ainsi eu la chance de recevoir une édition spéciale, de toute beauté – ça, il faut le reconnaître ! Alors, encore merci 🙂

Derrière la haine, Barbara ABEL

Deux maisons, deux couples, deux vies, et pourtant une seule et même amitié. Celle de Tiphaine et Sylvain d’un côté, de Laetitia et David de l’autre. De leur mitoyenneté est née un véritable attachement ; ensemble, ils partagent tout. Et c’est côte à côte qu’ils accueillent leurs enfants : Milo et Maxime.

Ces deux-là sont inséparables, tout comme leurs parents. Et puis un jour, le drame. L’amitié est brisé, ne reste alors plus que la colère, la paranoïa, la vengeance, la haine…

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Contrairement à beaucoup de livres du genre, il ne s’agit pas de personnages mal intentionnés mais plutôt de souffrance, celle de la perte. Comment la disparation d’un être cher peut amener les gens à changer, à ne plus être que l’ombre d’eux-mêmes. Comment la douleur nous pousse à commettre des actes qui nous dépassent.

La fille du train, Paula HAWKINS

Rachel prend le train tous les jours. Depuis sa place assise, elle contemple la vue. Et au milieu du paysage, il y a cette maison et ses habitants. Elle leur a même donné un nom, construit une vie qu’elle alimente jour après jour.

Un matin, ce n’est pas l’homme qu’elle connaît qui est à la fenêtre, ce n’est pas lui qui embrasse « Jess », c’est un autre, quelqu’un qu’elle n’a jamais vu. Le couple est-il au bord de l’explosion ? Ses soupçons se renforcent lorsqu’elle découvre, avec stupeur, que celle qu’elle observe depuis si longtemps est portée disparue.

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En parcourant les blogs et les commentaires sur Babelio, je vois bien que ce livre a passionné. J’entends souvent autour de moi des gens dire qu’ils ont adoré La fille du train, mais moi non. Pourquoi ? Je vous explique.

Derrière les portes – B.A. PARIS

Grace Angel est parfaite. Femme au foyer accomplie, elle éblouit toujours ses invités grâce à ses petits plats gourmands et ses manières délicieuses. Avec Jack, ils forment ce couple que tous envient. Amoureux et libres, ils attisent les convoitises…

Mais sous ses allures de maîtresse modèle dotée d’innombrables talents, Grace cache un secret. Et si les apparences étaient trompeuses ?

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Quand j’ai refermé ce livre, j’étais bouleversée. Totalement chamboulée par des sentiments contradictoires, par des images chocs, par un roman comme on en trouve rarement. Derrière les portes, je vous le conseille vivement. Mais qu’on se le dise, vous n’en sortirez pas indemne.

Chanson douce – Leïla SLIMANI

Après la naissance de ses deux enfants, Myriam décide de reprendre son métier d’avocat. Elle et son mari, très pris par leurs responsabilités et leurs ambitions respectives, choisissent de faire appel à une nounou pour s’occuper des petits. Mais trouver la perle rare est bien plus compliqué qu’ils ne l’imaginaient… jusqu’au jour où Louise entre dans leurs vies. Adorable et chaleureusement recommandée, elle a tous les atouts pour devenir un membre chéri de la famille.

Mais ce bonheur connait des jours sombres. Chacun se retrouve ainsi pris au piège d’une dépendance mutuelle, presque malsaine. Une situation qui va rapidement conduire à des évènements dramatiques que personne n’aurait pu imaginer.

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Chanson douce, c’est un roman qui se lit très vite et qui vous prend aux tripes. L’histoire est somme toute déroutante. La scène d’ouverture – notamment – est brutale, une terrible claque dont vous sentez encore la chaleur jusqu’au point final.

Un bonheur de rencontre – Ian McEWAN

Colin et Mary veulent profiter de leurs vacances. Dans un lieu éloigné de leur quotidien, ils comptent savourer chaque seconde. Ainsi, ils partagent leur temps entre leur chambre d’hôtel – à s’aimer et se reposer – et les balades dans les labyrinthes de cette ville mystérieuse.

Dans l’obscurité d’une ruelle, ils rencontrent un homme pas comme les autres. Très rapidement, il s’attache à eux, les prend sous son aile et leur fait découvrir des endroits inconnus. Ils vont même jusqu’à rencontrer sa femme et à partager des moments avec eux.

Un vrai bonheur de rencontre jusqu’à ce que ce couple parfait se révèle plus dangereux qu’ils ne l’auraient imaginé.

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Ian McEwan, voilà un auteur qui m’a déjà bouleversée par le passé. Mais autant vous prévenir, il a son genre.

Mensonges sur le divan – Irvin D. YALOM

Les aventures et mésaventures de psychothérapeutes – et de leurs patients ! – qui, par des chemins croisés, vont amener un véritable travail sur le « soi ».

Mensonges sur le divan raconte plusieurs parcours.
D’abord, celui de Carol, qui vient de se faire quitter par son mari, un homme timide et soumis. C’est sûr, il n’a pas eu cette idée tout seul. Persuadée que le psy de ex est à l’origine de la rupture, elle décide de se venger et se fait passer pour une patiente aux abois. Plus décidée que jamais, elle le promet, il ne relèvera pas lorsqu’elle l’accusera de harcèlement.

Cette histoire, c’est le point de départ d’un chassé-croisé thérapeutiques : des confessions, des trahisons, des patients déboussolés, des « sauveurs » d’âmes, etc.

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Les échecs, c’est comme la vie : quand la partie est terminée, toutes les pièces – les pions, les rois et les reines – retournent dans la même boîte.

Première tentative avec le nouveau format de livre. Les éditions « .2 » à peine dans les librairies, je me suis jetée sur ce roman. Petite parenthèse donc concernant ce format, qui est plutôt surprenant, mais pas spécialement dérangeant. Dommage qu’il n’est pas su séduire davantage !

La Vie d’une autre – Frédérique DEGHELT

À vingt-cinq ans, Marie a toute la vie devant elle. Ce soir, c’est à sa santé – et au nouveau poste qu’elle vient d’obtenir – qu’elle va trinquer ! Les heurs passent et s’alcoolisent. Elle rencontre alors Pablo avec qui elle passe la nuit.

Au réveil, Pablo est là, à ses côtés, complice. Encore endormie, Marie ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Alors lorsque deux enfants se jettent dans ses bras et l’appellent « maman », elle tombe des nues.

Que s’est-il passé pendant cette nuit ? Il semblerait que douze ans viennent de s’écouler. Et plus aucun souvenir. Marie ne sait plus qui elle. Les jours à venir risquent d’être, pour elle, l’occasion de découvrir qui elle est…

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Dans mon petit carnet de notes, j’avais griffonné ceci : « On s’identifier à cette femme, qui hésite entre quête du bonheur et recherche du passé. Seul bémol, un style sans saveur qui rend parfois le fil de l’histoire un peu fade. »

En relisant ces mots, je pense que cela résume assez bien les choses.

La Mémoire des murs – Tatiana DE ROSNAY

Pascaline vient de divorcer. La quarantaine, sans enfant, elle débute une nouvelle vie. Mais avant toute chose, elle a besoin d’un nouvel appartement. Rapidement, c’est le coup de cœur. Pour elle, cet endroit est une évidence.

Après quelques jours, c’est la déception, elle n’arrive pas à trouver le sommeil. Sa première nuit dans « son nid douillet » est un vrai cauchemar. Et un jour, la vérité éclate. Un drame a eu lieu dans cet endroit qu’elle affectionne tant. Dans ce lit où elle ne trouve pas le sommeil, un meurtre a été commis. Affectée par cette découverte, Pascaline se retrouve confrontée à ses propres souvenirs et tourments.

Au fil des jours, cette histoire va la poursuivre et l’amener jusqu’au plus profond de son être, jusqu’à la folie…

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Tout d’abord, je trouve ce roman un peu trop court, à peine 150 pages à lire ! J’ai d’ailleurs tendance à penser que c’est pour cette raison que l’on reste sur sa faim. Je regrette donc le manque de développement, le manque de travail sur le personnage et sa personnalité.